Continuant ses recherches, il s'oriente logiquement vers le Synthétisme, qui lui permet de représenter l'intensité de certains effets de la nature. Il réalise de 1890-1894 et même à partir de 1889 des oeuvres audacieuses aux formes simplifiées traitées en a-plat et cloisonnées.
 Le saule - 1889
|  Nature mortes aux fruits - 1889
|  Soleil couchant - 1890
|  Chemin des Frères
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Il participe aux expositions d'avant-garde: à Saint-Germain-en-Laye, les XX à Bruxelles, l'Association pour l'Art à Anvers, à Paris chez Le Barc de Boutteville, l'Hôtel Brébant, Le salon des Cent.
Durant toute cette période, il n'en abandonne pas pour autant le Néo-Impressionnisme. Même, délaissant toute théorie, il s'attache davantage à la représentation du réel, dans une synthèse des éléments qui lui est très personnelle: Cour de ferme, 1891, (basée sur le nombre d'or).
Une correspondance témoigne de ses relations avec les écrivains symbolistes: Gausson illustre des livres d'Adolphe Retté; Gustave Kahn préface le catalogue de son exposition particulière à la Galerie Laffitte en 1896.
Gausson écrira un livre de contes Histoires vertigineuses, en 1896.
En 1900, il est promu Officier d'Académie, pour avoir réalisé avec Adolphe Retté un monument dédié à Charles Colinet, dans la forêt de Fontainebleau  Cour de ferme - 1891
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